Pâte à tartiner - Cadiot-Badie

Le domaine

Cadiot-Badie

Leur histoire
Jean-Emile Vène et son frère sont à l’origine de cette Institution bordelaise crée en 1826. Précurseurs, ils mettent au point dans leur atelier, rue Verte à Caudéran, une machine à vapeur qui va servir à broyer les fèves de cacao, étape essentielle pour obtenir la saveur et la fluidité de la pâte de cacao.

Antoinette Badie reprend les rênes du magasin des Allées de Tourny en 1903 et obtient la médaille d’argent à l’Exposition Internationale de Bordeaux pour ses chocolats et ses bonbons fourrés.

Lucienne Cadiot lui succède en 1939 et crée le nom éponyme, Cadiot-Badie, l’enseigne incontournable des allées de Tourny à Bordeaux.
Femme de goût, vive et intelligente, elle gagne de nombreux concours et suscite l’admiration du jeune maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas.
Très appréciée de la clientèle bordelaise, elle dirigera cette institution jusqu’en 1963.

Serge Michaud réalise son rêve d’enfant en 1997 en faisant l’acquisition de cette vieille maison bordelaise. En 2005, un laboratoire est créé rue Eugène Chevreul à Pessac ; on y trouve également une boutique de vente attenante où la clientèle peut assister, à travers la baie vitrée, à la fabrication du chocolat. En 2019, une nouvelle boutique voit le jour, cours du Général de Gaulle à Gradignan où le métier de bouche est une tradition.

Leur savoir faire : une fabrication bordelaise, authentique et artisanale
Héritiers d’un savoir-faire précieux, l’artisanat à la française les anime avec fierté. Grâce à une sélection minutieuse des matières nobles, en véritables orfèvres et dans le plus grand respect des traditions, nos Maîtres Chocolatiers allient pertinence et savoir-faire pour élaborer de délicates et étonnantes nouveautés. Notre gamme de chocolats, pralinés, ganaches, pâtes d’amande et liqueurs, issus des meilleures productions de cacao, est une véritable ode à la gourmandise.

L'art de déguster le chocolat
Savoir déguster le chocolat est un plaisir épicurien. Et s’il s’agissait bien de la “nourriture des Dieux” ?
L’œil apprécie le brun chaud et brillant tirant parfois sur le pourpre ou l’auburn. Le toucher révèle le satiné de la matière tandis que l’oreille enregistre le “clac” sec et précis de la tablette que l’on brise d’un coup, le moelleux d’un fourrage praliné ou ganache lorsque l’on tranche un bonbon.